Évidemment, Moscou n'est pas une ville à faire en si peu de temps. Sauf que, suite à des soucis de visa, nous ne pouvions pas rester plus longtemps. Et comme c'est plus simple de revenir à Moscou plutôt qu'à Krasnoyarsk, on a préféré raccourcir notre séjour moscovite !
Nous y sommes arrivés en début d'après-midi et notre avion décollait le lendemain soir. Visite expéditive et condensée de cette capitale :)
Vladimir est un arrêt obligatoire si l'on souhaite rejoindre la ville de Souzdal car il faut prendre un bus pour y aller.
Souzdal est une petite ville qui permet de remonter un peu dans le temps grâce ses nombreux joyaux architecturaux et son atmosphère champêtre !
On ne voulait pas faire le Transsibérien d'une traite et quand on s’est penché sur les différentes villes de Sibérie, Krasnoyarsk nous a tapé dans l'oeil.
C'était un chouette séjour, en grande partie grâce à Anatoliy, notre guide “privé” pour cette étape.
Au fur et à mesure de notre périple en Russie, j'ai remarqué une marque de camionnettes récurrente, les UAZ. Ma passion est née pour ces petits fourgons rondouillards. Des Bumbo déclinés à l’infini !
Et au passage, on a aussi croisé d'autres voitures sympas et surtout originales !
Le lac Baïkal fait aussi parti des lieux qu'on voulait absolument visiter. Le plus grand lac du monde est vraiment magnifique à voir. Et quand on a découvert qu'il y avait une grande île au milieu, l'île d'Olkhon, on n'a pas pu résisté à y passer plusieurs jours. Une merveille ! Un arrêt obligatoire du Transsibérien.
Le passage d'une frontière en train est complètement différent de quand on passe la douane à un aéroport. Il faut parfois changer les roues de chaque wagon, attendre des heures dans un wagon “international” qu'on vérifie nos passeports, que les douaniers fouilles chaque wagon pour vérifier que rien n'est illégal, etc.
En résumé, le passage de frontières en train, c'est long !